L’INR n’a plus de secrets pour vous ?

Eclairez vos pairs !  

Dans la salle d’attente de votre médecin, une discussion s’engage au sujet du l’INR. Que répondez-vous à chacune de ces personnes ?

Réponse :

À la femme en rouge, vous conseillez : Vos INR toujours dans votre zone thérapeutique révèlent que votre traitement par AVK est parfaitement équilibré. Vous pourriez vous contenter d’un INR par mois, cela préserverait vos veines. Parlez-en à votre médecin !

À la femme en jaune, vous préconisez : Un INR est éphémère. Aussitôt le résultat reçu de votre laboratoire, vous devriez le communiquer à votre médecin pour qu’il adapte si besoin sans tarder votre traitement anticoagulant.

À l’homme en vert, vous recommandez : Ce n’est pas si facile de trouver la bonne dose d’AVK. Pourquoi ne pas demander à un professionnel de vous aider à équilibrer votre traitement ? Vous verrez comment il s’y prend, sans précipitation et avec de tous petits changements de dose. Une fois que votre traitement sera équilibré et que vous aurez vu comment procède le médecin, si vous le souhaitez, vous pourrez retrouver votre autonomie.

À l’homme en bleu, vous expliquez : Si votre INR doit être compris entre 2 et 3, cela veut dire que votre médecin souhaite que, grâce à votre AVK (antivitamine K), votre sang mette entre 2 et 3 fois plus de temps à coaguler que la normale.

À la femme portant une casquette, vous répondez : Ce médicament est là pour vous protéger contre le risque de faire un caillot. Or on on ne sait pas quand votre cœur risque de faire une crise d’arythmie et ainsi de fabriquer un caillot. Donc votre médecin vous a prescrit de prendre votre coumadine tous les jours, par sécurité. C’est comme la ceinture de sécurité : on la met à chaque fois qu’on prend la voiture, parce qu’on ne sait jamais quand un accident risque de nous arriver.

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