Témoignage
Je n’ai pas pu faire le métier que je voulais
Anne-Sophie, 32 ans dont 12 sous coumadine, nous explique les conséquences du SAPL (syndrome des antiphospholopides) et du traitement par AVK (antivitamine K) sur sa vie professionnelle.
Troisième épisode : les conséquences sur la vie quotidienne et l’adaptation professionnelle
Extrait :
« Le SAPL, ça reste une maladie invisible, c’est quelque chose qui ne se voit pas de l’extérieur mais, en effet, ça a des conséquences notamment de fatigue. […] Je voulais être hôtesse de l’air. C’est un milieu hostile, soumis à la pressurisation, en plus c’est un métier où on a toute une batterie d’examens médicaux à faire […], c’était médicalement pas possible d’être hôtesse de l’air donc ça a quand même cassé un peu ce rêve-là. »
Témoignage audio :
Les autres épisodes :
1. L’annonce et le rejet de la maladie